Au cours des 150 dernières années, cette jeune fille nommée Alice n’a pas manqué d’inspirer un grand nombre d’artistes de différents horizons. Tout comme ma collègue Eliane, j’avoue avoir un faible pour ces créateurs qui en ont exploré le sous-texte. Un message tantôt complexe, parfois sombre, mais toujours joliment décalé sur une toile de fond totalement déjanté. Lorsque vos enfants seront couchés, je vous propose de vous régaler de la version pop-surréaliste qu’en a faite l’artiste américaine Camille Rose Garcia. Un vrai régal…

« Mon Alice »

Pour ma part, je me suis amusé à imaginer une Alice des plus espiègles. Une fillette comme les autres que certains adultes un peu coincés regarderaient de haut. Une enfant dont on se méfie assurément de l’espièglerie dont on la sait capable. Une élève modèle de l’école buissonnière, assez rusée pour mettre la reine de coeur dans la petite poche de son tablier…

Mon Alice

« Mon Alice » – Mathieu Potvin, crayons aquarelle et encre, 2015.

Last modified: 3 juillet 2017

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